Après la sècheresse de 2015 des fissures sont apparus sur les murs de certains bâtiments. Les indemnisations des assurances ne peuvent être versée dans ce cas-là qu’en cas de reconnaissance de catastrophe naturelle. Or ça n’a pas été le cas. La communes a donc décidé d’aller devant la justice pour casser cet arrêté de non reconnaissance.
Publié le 20 juin 2017 par Mosaik
Catégories Le journal
Mots-clés catastrophe naturelle dégâts justice sécheresse